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"Le Covid-19 n’a pas tué l’appétit des particuliers pour l’immobilier. En tout cas pas celui des clients du réseau d’agences immobilières
Daniel Féau et Belles demeures de France qui a interrogé plus de 900 candidats acquéreurs en recherche active avant le confinement d’un
bien à Paris ou en proche couronne et disposant d’un budget supérieur à 500 000 €.
Plus de 82 % des acquéreurs interrogés comptent reprendre leur recherche, et même immédiatement pour les deux tiers d’entre eux.
Seulement 10 % des sondés ont suspendu leur recherche et 7,4 % n’ont pas encore statué.
Mieux, ils sont plus de 70 % à déclarer maintenir, voire augmenter l’enveloppe qu’ils avaient prévu de consacrer à leur acquisition
immobilière. Si trois quarts des sondés anticipent une baisse des prix de l’immobilier en France sur les deux prochaines années, plus d’un sur deux croit en une stabilité ou une
hausse pour Paris et sa proche couronne ouest. Ils sont même six sur dix à envisager une stabilité, voire même une hausse des valeurs pour les biens qui correspondent à leur
recherche immobilière en cours. Ce qui peut être perçu comme un signe d’inquiétude sur une pénurie de produit ou de confiance quant à l’avenir des marchés tendus. Par
exemple, trois quarts des sondés pensent que la demande portant sur les biens familiaux (trois ou quatre chambres) continuera d’excéder l’offre, tant ce type d’actifs est rare, en
particulier à Paris.
Cette confiance des clients ou futurs clients du réseau Daniel Féau se manifeste également dans leur comportement d’achat. Ainsi, plus de 70 % des sondés déjà propriétaires
disent vouloir préférer trouver leur future résidence principale avant de vendre celle qu’ils occupent. C’est la situation exactement inverse à celle de l’automne 2008, où au
lendemain de la faillite de Lehman Brothers, la vente de la résidence principale conditionnait la recherche de la future.
Enfin, le sondage de Daniel Féau tord le cou à quelques billevesées qui prolifèrent. Près de 70 % des 900 candidats à l’acquisition interrogés déclarent que la crise sanitaire n’a eu
aucun impact sur les caractéristiques du bien immobilier qu’ils cherchaient et qu’ils cherchent toujours. La proportion atteint même 81 % pour les acquéreurs disposant d’un
budget supérieur à 2,5 M€. Ils sont toutefois 68 % à estimer que l’intérêt pour l’acquisition de résidences secondaires sera amené à se densifier dans les prochains mois. Pour
Daniel Féau, cela se traduit par une « très forte demande » des Parisiens pour les maisons de la couronne ouest et les propriétés proposées par son agence d’Aix-en-Provence.
Comment se traduit cet appétit sur le terrain ? « Nous avons déjà échangé avec une partie non négligeable des acquéreurs que nous suivions sur le terrain avant le 17 mars et
ceux-ci n’hésitent pas à formuler des offres qui, pour un certain nombre d’entre elles, sont déjà acceptées », témoigne Nicolas Pettex, directeur général du réseau. « Nous
imaginons, compte tenu des records de fréquentation observés sur nos sites internet et des réponses à notre enquête, que les autres ne tarderont pas à revenir vers nous. »
Les agences Daniel Féau et Belles demeures de France revendiquent 600 à 700 transactions par an, d’une valeur comprise entre 500 000 € et 2 M€. Elles sont aussi à l’origine de
plus d’une vente parisienne sur quatre entre 2 et 4 M€ et près d’une sur deux supérieure à 4 M€."
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